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Les 4 principales causes d’échec des entreprises

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Quelles sont les principales causes d’échec des entreprises et des start-up ? Comment sauver une entreprise en difficulté ? Comment faire face à un problème de trésorerie ?

Selon les statistiques de l’INSEE, 25% des entreprises échouent dans les 2 premières années, et 49,5 % échouent dans les 5 premières années. Ce taux d’échec est encore plus élevé pour les start-up : on parle de 80% d’échec même si aucune statistique officielle n’a encore été produite à ce jour.

Une étude de 2009 montre que :

Voyons en détail les principales causes de défaillance des entreprises, qui sont aussi les principales raisons d’échec des start-up.

Première cause d’échec : les carences commerciales.

Les carences commerciales sont donc la première cause de défaillance des entreprises.

Cela touche à différents aspects de la manière dont l’entreprise rencontre ses clients :

Exemples de solutions :

Deuxième cause d’échec des entreprises : les carences en gestion.

Les problèmes de gestion sont la deuxième cause d’échec des entreprises et des start-up.

Les carences en gestion recouvrent principalement les éléments suivants :

Exemples de solutions :

Troisième cause d’échec : le défaut de compétences techniques.

Troisième cause d’échec des entreprises et des start-up, le défaut de compétences techniques peut affecter la santé de l’entreprise de différentes manières :

Le manque de compétences techniques peut toucher au savoir-faire artisanal, aux méthodes de production, à la logistique, aux techniques d’import-export, ou encore au marketing et à la communication (graphisme, technologies web, techniques de communication…). Ce défaut de compétences ne peut que freiner l’entreprise sur le long terme.

Exemples de solutions :

Quatrième cause d’échec des entreprises : les carences touchant au réseau relationnel ou au management.

C’est la quatrième cause d’échec des entreprises et des start-up : les carences relationnelles. Cela concerne le comportement même du chef d’entreprise.

S’il reste isolé, sourd et muet, le chef d’entreprise ne pourra pas détecter les risques ni préparer l’avenir. Le dirigeant doit au contraire travailler en réseau pour écouter son environnement et saisir les opportunités. Il doit, dans ses conversations au quotidien, recueillir des informations stratégiques auprès de ses clients, de ses fournisseurs, de ses employés…

Il doit se montrer ouvert et « opportuniste » dans le bon sens du terme. Son mode de management doit être participatif, afin de laisser les informations remonter à lui.

Exemples de solutions :

Comment sauver une entreprise en difficulté ?

Voir notre article Redresser une entreprise en difficulté : notre méthode en 12 points.

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