Les 20 qualités essentielles d’un bon chef d’entreprise

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Quelles sont les qualités et caractéristiques d’un bon entrepreneur ? Quelles compétences faut-il cultiver pour être ou pour devenir un bon chef d’entreprise ? Comment être un bon chef d’entreprise ?

Le métier de chef d’entreprise est particulièrement exigeant. Il nécessite un grand nombre de qualités, des savoirs, un savoir-faire et un savoir-être particuliers.

Pourtant, les chefs d’entreprise qui réussissent ne sont pas toujours ceux qui présentent la liste de qualités la plus longue… Maîtriser tous les aspects de l’entreprise est plus important qu’être excellent sur un ou plusieurs points.

Qualité n°1 – Bien se connaître.

Bien se connaître, c’est connaître ses qualités mais aussi ses défauts. C’est reconnaitre qu’on ne maîtrise pas tout. C’est aussi, dans une situation donnée, savoir se remettre en cause, accepter que l’on n’est pas au niveau et rechercher d’autres solutions.

Pour bien cerner ses forces et ses faiblesses, le créateur d’entreprise peut faire un bilan de compétences ou retravailler son CV. Dans tous les cas, il devra se poser les questions suivantes :

  • Qu’est-ce que je sais bien faire ? En quoi suis-je performant ?
  • Qu’est-ce que je sais moins bien faire ?
  • Qu’est-ce qui me rebute, et pourquoi ?
  • Quelles sont les principales critiques qui me sont adressées ?
  • Quelles qualités mon entourage reconnait-il en moi ?
  • Qu’est-ce qui me rend vulnérable ?
  • Qu’est-ce qui fait que j’ai échoué ou que je me suis senti mal dans mes emplois passés ?

Avoir des défauts n’est pas vraiment un problème en soi. La clé de la réussite consiste en fait à rechercher des solutions pour contourner ses propres points faibles.

La gestion des papiers me rebute : pourquoi ne pas faire appel à une secrétaire administrative indépendante une demi-journée par semaine ? Je ne maîtrise pas bien internet : pourquoi ne pas demander à un proche de gérer la communication en ligne ? Je ne maîtrise pas la production : pourquoi ne pas faire appel à un sous-traitant ?

Savoir s’entourer, rechercher des partenaires ou encore se former sont des solutions.

Qualité n°2 – Savoir écouter les autres.

Pour prendre les bonnes décisions, proposer le bon produit au bon endroit et au bon moment, le futur chef d’entreprise doit écouter, s’intéresser aux autres, se renseigner sur eux et sur leur « intérêt particulier ».

Se mettre à la place des autres pour comprendre leur comportement et leur discours est primordial, cela nécessite une certaine ouverture d’esprit :

  • les clients : il faut connaître leurs attentes, leur comportement, leurs caractéristiques ; pour cela, une étude de marché est toute indiquée, par exemple par questionnaire. Le plus compliqué consistera à accéder à la pensée profonde du client, à ses motivations essentielles,
  • les fournisseurs et les commerciaux : ils peuvent parfois donner de bonnes indications sur le marché, mais aussi de mauvaises pour vous faire acheter des produits qu’ils n’arrivent pas à vendre ; il faudra décrypter leur langage,
  • les concurrents : il faut se mettre à leur place et essayer de comprendre pourquoi ils agissent tel qu’ils le font sur le marché,
  • les prescripteurs et les partenaires : ce sont les personnes qui parlent de votre activité et sont susceptibles de vous amener des clients. Il est important de comprendre pourquoi ils acceptent de jouer ce jeu et ce qu’ils attendent en retour,
  • les proches : il est intéressant de leur demander leur avis sur votre manière de faire. Mais il faudra trier ce qui, dans leur discours, est pertinent ou non. Tout ne sera certainement pas bon à prendre.

Bien connaître les autres permet de décrypter leur discours : quelle est la part de vrai et de faux dans ce qu’ils affirment, la part de bluff, la part d’irrationnel ? Quel intérêt ont-ils à déformer la vérité ?

Qualité n°3 – Croire en soi, mais pas trop.

Pour réussir, le chef d’entreprise doit croire un minimum en lui-même. Pour cela, il doit bien se connaître (voir point 1) et bien connaître les autres pour retenir la partie pertinente de leur discours (voir point précédent).

La confiance en soi n’est pas quelque chose d’inné, elle s’acquiert en fonction des expériences passées, des échecs et des réussites. Une confiance suffisante permettra au créateur d’entreprise d’oser la réalisation de son idée, de s’imposer face aux autres et de créer sa place parmi les concurrents. Au contraire, une confiance en soi trop faible sera un frein à la décision.

Mais attention, la confiance en soi est à double tranchant : trop de confiance peut amener le chef d’entreprise à ne plus écouter l’environnement ni son entourage, et à foncer dans le mur…

Qualité n°4 – Avoir une vision stratégique.

Avoir une vision stratégique, c’est être capable de définir une stratégie de long terme (5 ans au moins) et de s’y tenir. C’est être stable dans ses idées, au contraire de quelqu’un qui changerait d’avis tout le temps.

La stabilité du positionnement commercial est rassurante pour tout le monde : les clients, les partenaires, les prescripteurs, l’entourage… Cela les incitera à faire appel à vous plus souvent.

Mais stabilité ne veut pas dire que tout doit toujours rester figé. Le chef d’entreprise doit sentir le moment opportun pour faire évoluer sa stratégie et son positionnement, en douceur, sans envoyer de signal négatif.

Qualité n°5 – Rester lucide en toutes circonstances.

Rester lucide, c’est accepter de regarder la réalité en face. Revoir ses hypothèses si elles ne sont pas réalistes. Accepter les chiffres tels qu’ils se présentent. Changer de stratégie si elle ne donne pas satisfaction, quitte à en payer les pots cassés. Avoir le courage de décider d’arrêter une production si elle n’est pas rentable, même si des investissements importants ont été réalisés. Faire le deuil d’une idée qui se révèle moins bonne que prévu.

Rester lucide, c’est garder en tête que l’objectif numéro 1 reste de vivre de son activité. C’est n’être ni pessimiste, ni optimiste.

Le seul moyen de rester réaliste consiste à écouter les signaux de l’environnement (discours de l’entourage, des partenaires, des clients) et à les valider ou les invalider en recherchant de l’information complémentaire. Il s’agit littéralement de « cerner » la situation.

Rester lucide donc, c’est être en permanence bien informé, afin de ne pas « rêver », ni sur réagir, ni avoir peur.

Qualité n°6 – Etre passionné, sans exagération.

Etre passionné par son projet de création d’entreprise ou son produit est une bonne chose, car c’est au départ la principale source de motivation. Mais la passion finit toujours par passer, il faut donc éviter de se laisser mener et déborder par elle, au risque de se réveiller un matin en ayant envie de tout arrêter.

La passion a un autre inconvénient : elle est aveuglante. Elle masque la réalité, les problèmes réels et les motifs de mal-être du chef d’entreprise. Un chef d’entreprise trop passionné se consacrera à son rêve plutôt qu’au rêve du client… grave erreur.

La passion est intéressante si elle se convertit en plaisir durable au travail, et si elle est tournée vers les autres. Elle ne doit pas occulter l’utilité d’une véritable écoute du consommateur, et donc d’une étude de marché bien menée.

Qualité n°7 – Etre persévérant… donc patient.

Persévérance et patience sont des qualités essentielles pour un créateur d’entreprise ou un chef d’entreprise. Ces qualités sont malheureusement souvent absentes au démarrage, le dirigeant étant trop passionné, sur motivé et pressé d’en découdre.

Le créateur d’entreprise doit partir du principe qu’une graine met du temps à germer. Qui peut penser qu’une clientèle peut se bâtir en quelques semaines ? Certaines activités peuvent nécessiter plusieurs années pour se constituer une clientèle à peu près stable.

Le manque de patience aboutit au découragement et à une forme de désillusion. Au contraire, le chef d’entreprise persévérant démarrera prudemment, écoutera les signaux de son environnement, s’adaptera progressivement et considérera chaque vente comme un signal positif et encourageant.

Qualité n°8 – Etre débrouillard.

N’être jamais à cours d’idées ou d’outils, voilà une qualité salutaire pour un chef d’entreprise.

Il faut partir du principe qu’une solution existe à tout problème, il suffit d’aller la chercher. Face à un blocage ou une difficulté de trésorerie, de chiffre d’affaires, de développement, de personnel, de production ou encore de logistique, quelqu’un peut vous aider, vous conseiller ou vous présenter des outils intéressants.

Décrochez votre téléphone, activez votre réseau, sollicitez votre entourage, demandez que l’on vous mette en contact.

Notre tissu économique offre un nombre considérable de solutions et d’opportunités : des spécialistes existent sur tous les domaines, des créateurs ont imaginé des outils pour toutes les situations, des associations d’entrepreneurs sont aussi là pour vous aider. Internet est un moyen particulièrement efficace pour les identifier (et ce site aussi !).

Qualité n°9 – Etre prêt à l’effort commercial.

Un bon chef d’entreprise sait que la clé de la réussite se situe au niveau de l’effort commercial qu’il va mener. La règle est claire : un dirigeant doit passer 80% de son temps à rechercher des clients ou à être en contact avec la clientèle.

Rien ne sert de passer son temps à faire des tableaux prévisionnels ou des courbes de croissance du chiffre d’affaires, la priorité est se rendre sur le terrain.

Pourtant, beaucoup de créateurs d’entreprise considèrent qu’ils sont de mauvais commerciaux et aimeraient laisser ce travail ingrat à d’autres, agents commerciaux par exemple. Or le meilleur vendeur se révèle très souvent être le dirigeant lui même !

Qualité n°10 – Savoir s’entourer et se faire aider.

Quel chef d’entreprise peut penser qu’il peut tout faire tout seul ? Et pourtant, nombreux sont ceux qui considèrent qu’ils doivent s’occuper de tout, y compris du ménage et de la comptabilité, pour éviter d’avoir à embaucher ou simplement pour faire des économies. C’est un mauvais calcul.

En réalité, la clé consiste à garder pour soi les tâches qui sont stratégiques, celles qui produisent des revenus et qui font la valeur de l’entreprise. Les autres tâches peuvent être sous-traitées : un expert-comptable pourra tenir la comptabilité, une secrétaire indépendante pourra gérer les documents administratifs et commerciaux, une entreprise de nettoyage pourra intervenir ponctuellement.

Si leur coeur de la stratégie de l’entreprise est le marketing et la valorisation d’un produit, le dirigeant devra se consacrer aux aspects commerciaux et communication, quitte à sous-traiter la production.

Qualité n°11 – Savoir gérer les priorités.

Savoir gérer les priorités consiste à ne pas se laisser dépasser par le quotidien. La vie d’un dirigeant d’entreprise est une somme de tâches et de responsabilités diverses : relations avec les clients et les partenaires, relations avec le comptable et les administrations, ouverture du courrier, gestion de la trésorerie, téléphone, déplacements, passage de commandes, réception de marchandises, gestion des impayés et des réclamations, etc.

L’objectif est d’instaurer une hiérarchie entre les choses à faire, en restant lucide sur l’urgence de certains dossiers, sans oublier l’essentiel : garder une bonne hygiène de vie, prendre soin de sa famille, savoir dire non, savoir se faire aider. Pourquoi ne pas acquérir des outils permettant d’automatiser les tâches les moins productives ?

Bien sûr, l’idéal est de ne jamais remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même.

Qualité n°12 – Savoir décider, trancher.

Nombreux sont les chefs d’entreprise qui redoutent de prendre des décisions, le plus souvent pas peur de commettre une erreur. Par exemple pour l’embauche d’un employé, le changement de statut ou l’acquisition d’une machine.

Ce comportement freine le développement de l’entreprise et peut décourager le dirigeant en lui renvoyant une mauvaise image de lui-même.

Or c’est le manque d’information qui introduit le doute et la peur. Pour être à même de prendre la bonne décision, il faut donc multiplier les points de vue : demander l’avis à ses confrères, à ses partenaires, à ses fournisseurs, à son comptable ou même à ses amis. Ces derniers auront certainement plus de recul et leur discours « éclairera » la situation en désamorçant les craintes de départ.

Qualité n°13 – Savoir gérer son temps.

Combien de temps un chef d’entreprise doit-il travailler par jour ou par semaine ? Par quoi doit-il commencer sa journée ou sa semaine ? Quand peut-il partir en vacances ? Il n’y a pas de réponse tout faite à ces questions.

Face à un nombre incalculable de tâches et de responsabilités, le dirigeant doit surtout gagner en productivité et en efficacité, bref aller à l’essentiel. La mise en place d’outils informatiques peut permettre d’automatiser certaines tâches (relances paiement, mailing, rapprochement bancaire… une formation Excel est parfois bienvenue).

Le pire pour un chef d’entreprise est d’avoir l’impression de « subir », de n’avoir le temps de rien faire. Cette impression peut venir d’une difficulté à hiérarchiser les priorités (voir point 11), ou d’un trop grand nombre de tâches non listées qui trottent dans l’esprit du chef d’entreprise tant qu’elles ne sont pas traitées.

L’agenda reste le meilleur allié du chef d’entreprise. Il doit reposer l’esprit du dirigeant ; ce dernier peut aussi faire ponctuellement un bilan du temps qu’il passe sur les différentes tâches afin d’en tirer des leçons.

Qualité n°14 – Savoir gérer l’argent.

Dans une entreprise, bien gérer l’argent signifie avant tout maîtriser sa trésorerie.

La trésorerie est le juge quotidien du chef d’entreprise : les problèmes de trésorerie grignoteront petit à petit le moral du chef d’entreprise, jusqu’à le faire arrêter. Au contraire, une trésorerie confortable surmotivera le dirigeant.

Bien gérer sa trésorerie demande rigueur, anticipation et sang-froid. Cela demande aussi des capacités d’analyse, pour savoir d’où proviennent les problèmes d’argent (problème de rentabilité ? besoin en fonds de roulement croissant ?).

Pour éviter de se faire déborder par les problèmes d’argent, le dirigeant devra mettre en place des outils informatiques adaptés, demander conseil à son expert-comptable, et jouer cartes sur table avec son conseiller financier.

Qualité n°15 – Savoir gérer les risques.

La vie d’une entreprise n’est jamais stable et rien n’est jamais acquis. L’environnement évolue en permanence : apparition de concurrents, évolution de la réglementation, risques conjoncturels ou géographiques, risques liés aux employés ou à l’entourage, météo changeante, crise économique ou sociale, apparition de nouvelles tendances, révolution technologique… Les risques sont nombreux.

Un bon chef d’entreprise doit mettre en place une stratégie de gestion des risques :

  • Il faut tout d’abord prévoir et lister les risques afin d’anticiper au mieux les situations critiques,
  • Il convient ensuite de hiérarchiser les risques, du plus important au moins important,
  • Il faut ensuite traiter chaque risque :
    • Le risque peut-il être contourné s’il advient ?
    • Peut-on relativiser ou accepter certains risques ? Quelles informations me manque-t-il pour pouvoir traiter convenablement telle ou telle éventualité ?
    • Y a-t-il des outils ou des solutions pour traiter tel ou tel risque ? Quel en est le coût ? Est-il possible de mutualiser ces coûts avec des partenaires ou des concurrents ?
  • Voir notre article dédié à la gestion des risques de l’entreprise.

Mieux vaut anticiper !

Qualité n°16 – Etre opportuniste.

Un bon dirigeant a un côté opportuniste. Concrètement, cela signifie qu’il doit analyser et saisir toute possibilité de faire mieux que ce qu’il fait aujourd’hui.

Etre opportuniste, c’est donc être curieux et ouvert aux évolutions du marché et de l’environnement. Cela nécessite d’être toujours bien informé, connecté aux tendances, et en contact permanent avec les professionnels du secteur. Des outils existent pour cela : presse ou sites internet spécialisés, événements ou conférences, systèmes d’alertes (Google Alerts par exemple)… ou tout simplement le bouche-à-oreilles.

Etre opportuniste ne signifie toutefois pas abandonner brutalement sa stratégie pour en adopter une autre. Une opportunité doit être testée et analysée avant toute autre chose.

Qualité n°17 – Aimer rendre service.

Tout chef d’entreprise devrait prendre du plaisir à rendre service, car c’est en réalité son coeur de métier. C’est aussi un facteur-clé de réussite, car si le client sent qu’il est aimé pour lui-même et non pour son portefeuille, il reviendra plus facilement.

Aimer rendre service permet aussi de s’économiser au travail. Un chef d’entreprise attentionné et tourné vers les autres sera plus endurant car plus satisfait au quotidien.

Qualité n°18 – Savoir négocier et mesurer un rapport de forces.

Un client potentiel vous propose de vous commander pour 20 000 € de produits, contre une réduction de prix de 40%. Que faire ? Si vous acceptez, vous faites une croix sur une grosse partie de la marge. Si vous refusez, vous passez à côté d’une belle commande…

Pour bien négocier dans ce type de situation, il convient de rassembler un maximum d’informations sur l’autre partie : quelles sont les motivations du client potentiel ? avec qui suis-je en concurrence ? le client est-il pressé ? a-t-il l’habitude de négocier de la sorte ? pourquoi négocie-t-il si durement ? quelle est la part de bluff ?

Bien négocier implique d’être sûr de soi et de la qualité de son produit ou de son service. Il faut garder en tête que la qualité a toujours un prix. Mettez en avant vos atouts, ne vous dévalorisez pas. Offrez des services supplémentaires plutôt qu’une baisse de prix.

Qualité n°19 – Ne pas avoir peur de l’échec.

Echouer n’est pas une honte ! Le plus important est de comprendre ce qui n’a pas marché, pour faire mieux la prochaine fois. Certains créateurs d’entreprise ont échoué plusieurs fois avant de réussir, et personne ne leur en a tenu rigueur.

Qualité n°20 – Etre soutenu.

Le soutien de l’entourage, notamment familial est particulièrement important pour la réussite d’un projet d’entreprise.

Cela nécessite d’abord d’aller chercher et de cultiver ce soutien : c’est en expliquant son projet précisément à son conjoint ou à ses enfants, ou en les associant concrètement, qu’ils pourront y adhérer et vous soutenir vraiment.

Ensuite, être soutenu, cela se mérite. Le chef d’entreprise qui délaisse sa famille et ses enfants ne doit pas s’attendre à recevoir un quelconque soutient de leur part…

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3 réponses

  1. Avatar pour WikiCréa Pierre Richard Ulysse dit :

    Merci à vous!
    Vous êtes super interessanta dans vos approches.

    Vous m’encouragez à prendre les affaires bcp plus au sérieux.

  2. Avatar pour WikiCréa KIMA Ablassé dit :

    Merci

  3. Avatar pour WikiCréa Allouan dit :

    Très important vos articles

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